La contre-nature de Chrysippe Tanguay, écologiste

La contre-nature de Chrysippe Tanguay, écologiste a pu voir le jour grâce aux extrêmes de ses personnages.

Aveugles ou lucides dans leur passion, leur utopie, leur authenticité, ils se confrontent entre l’imaginaire et le réel, le théâtre et la vie…

J’ai tenté de les respecter dans leur interrogation.

Je n’ai pas voulu faire une oeuvre qui plait mais une oeuvre qui provoque et, non pas, pour le plaisir de provoquer.

« La nature, mon fils, peut souvent s’expliquer, mais pas la nature humaine »
 Diane (Laurence)

Bonne soirée !

Michel Marc Bouchard

Parler clairement et rationnellement de la pièce que vous verrez ce soir n’est pas chose facile.

La contre-nature de Chrysippe Tanguay, écologiste n’est pas une pièce facile. Ni une pièce « agréable », mais nous croyons qu’elle peut être utile, car elle soulève des questions. Elle va chercher des choses qui dorment peut-être au fond de vous-même et qui n’ont pas souvent l’occasion de faire surface.

Si nous nous sommes livrés à l’exercice parfois douloureux et insécurisant d’aller chercher dans le fond de vos « garde-robes » intimes, ces fantasmes, ces peurs, ces haines, c’est que nous croyons important de dire des sentiments « pas jolis », de faire éclater ces abcès afin qu’un jour la Compréhension, l’Amour, la Vie soient possibles.

André Brassard

« Si l’on retourne toujours au théâtre, c’est qu’on y trouve, parfois, une éclaircie, un moment de grâce, quelque chose que l’on n’oublie pas, la confession fragile d’une peur, par exemple, comme cette pièce fascinante de Michel-Marc Bouchard intensément mise en scène par André Brassard, installée dans l’espace du Théâtre d’Aujourd’hui, avec un rare bonheur, et jouée avec ferveur par un extraordinaire trio de comédiens. »
Robert Lévesque, Le Devoir 

« Bien des spectateurs, dont nous sommes, estiment que cette pièce atteint l’universel. »
Jean-Pierre Bonhomme, La Presse

« Une pièce dure et intense, magnifiquement interprétée. »
Carole Ménard, Échos-Vedettes

« Ne manquez pas cette pièce remarquablement écrite, extraordinairement bien jouée. »
François Ledoux, Nouvelles illustrées